Je fais partie de ceux qui pensent que la vie repose sur un juste équilibre des choses. À toute situation existe un contraire et c’est bien grâce à l’un que l’autre peut exister. Ma relation avec la pêche traverse les années grâce à cette perpétuelle balance entre un monde et un autre. Que ce soit les lieux pêchés, les approches, les saisons ou encore le temps consacré à chaque sortie, j’ai besoin de changement.
Très jeune, j’ai découvert que pratiquer une activité de manière trop intensive, aussi plaisante soit elle, est synonyme de baisse d’intensité. Cette petite routine qui s’installe doucement a tendance à grignoter mon plaisir, mon attention et mon émerveillement. Pour éviter être victime de ce piège redoutable, j’ai dû développer des stratagèmes. Et pour un pêcheur de carpes curieux, il est facilement possible de repousser la lassitude, tant il y a de manières différentes de nous distraire autour de ce dénominateur commun.Grand ou petit
Personnellement, la majorité de mes sorties sont axées vers les grandes eaux libres et sauvages. La principale raison à cela est que plus le terrain de jeu est grand, plus mon mental a de facilité à s’évader. Je pêche…
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