Loin de moi l'idée de plaisanter autour de ce titre qui peut évoquer bien des souffrances pour les individus contraint de prendre pour domicile ce type de structure urbaine. Mais pour ma part il s'agit bien de la résidence secondaire qui m'a permis de passer l'ensemble de mes jours de repos au cours de l'automne 2018. Les ponts ne font pas que nous abriter, halieutiquement parlant ils peuvent aussi apporter certaines caractéristiques qu'il est intéressant d'exploiter.
Tout commence en septembre 2015 à la suite d’une balade sur les eaux de la Garonne au centre-ville de Toulouse. À cette époque j'avais aperçu une pile de pont compatible avec l'installation d'un campement temporaire. J’étais séduit par ce lieu atypique qui me permettait de pêcher en plein centre-ville en étant isolé de tous. J’avais donc tenté une première approche lors d'une sortie de 48 heures. Celle-ci s'était soldée par une quinzaine de touches pour seulement deux carpes au sec le reste étant des silures variants de 1 m 20 à 1 m 50. Je n'ai compris que plus tard que je devais de tels résultats à la gamme de bouillettes que j'utilisais à l’époque, des produits très sucrés essentiellement chargées en arôme. Ces résultats…
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