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Pêche de la carpe au parc Soubise, en Vendée

Depuis des décennies, les habitants des Deux-Sèvres, dont je fais partie, ont été rebaptisés les « Belous » ou moutons par nos voisins vendéens ! Ils ont aussi trouvé le sobriquet de « Cagouillards » pour désigner les Charentais, soi-disant grands amateurs d’escargots, appelés « cagouille » en patois. En contrepartie de quoi nous les avons surnommés les « ventres à choux », à cause de leur appétence ancienne pour les crucifères, entre autres explications. Cela ne date donc par d’hier que l’on se chambre gentiment d’un département à l’autre dans Ouest français. En conclusion de quoi et même si cela me fait un peu mal de le dire, je dois bien avouer qu’il y a beaucoup de très jolis sites de pêche de la carpe en Vendée, comme le Parc Soubise !

Situé sur la commune de Mouchamps (85), à seulement 22 km du Puy du Fou, le Parc Soubise est un lieu sauvage et chargé d’histoire, en plein milieu du bocage vendéen. Au bord de l’étang, j’en ai rugi de plaisir comme les lions du parc d’attractions que l’on peut y entendre quand le temps est calme ! Au cœur de 1 000 ans d’Histoire, une des premières choses qui a capté mon attention la première fois que j’ai découvert le Parc Soubise, c’est la richesse des lieus en termes de patrimoine historique. Il y subsiste même des traces de la seigneurie datant du xiie siècle et puis petit à petit, le château fort s’est transformé en château de plaisance. Je ne m’y suis pas déplacé pour commémorer les 200 morts qui furent fusillés puis brûlés près du puits de l’ancien château par les colonnes infernales de Lachenay, en janvier 1794. Mais, je ne pus rester indifférent devant l’aspect mystique de cette grande bâtisse. D’autant plus que je l’avais régulièrement dans mon champ de vision en pêchant le poste 7. En effet, l’ancien château est toujours debout, malgré l’incendie qu’il a subi au moment de ce triste épisode de la période de la Terreur. Il est planté là, à deux pas de la digue de l’étang où sont placés les postes 5, 6 et 7. Même s’il y a eu un passage de Stéphane Bern et de vaines tentatives de recherche de financement pour le restaurer, il est resté dans son jus. Les ruines de ce drame demeurent intactes et se dressent comme le témoin d’un passé douloureux pour la région, mais elles n’en restent pas moins impressionnantes, tout comme les autres constructions situées à l’entrée du parc, juste en bordure d’un petit étang et qui méritent vraiment le coup d’œil ! Aujourd’hui, le domaine de Soubise appartient à la famille de Chabot depuis le XVIIIe siècle. Il est constitué du château, d’un parc de 16 ha, de 3 étangs dont celui consacré à la pêche de la carpe d’une superficie de 27 ha et de 4 gîtes haut de gamme parfaitement aménagés dans de magnifiques bâtiments classés du XVIIe siècle.

Un étang vendéen très apprécié des locaux.
Crédit photo : Nicolas Migeon

Une gestion très organisée

Si vous le souhaitez, moyennant un budget conséquent mais pour un standing très élevé. La principale activité est la pêche de la carpe, elle se déroule sur la pièce d’eau la plus importante qui s’étend sur 27 ha. L’étang est en SCI avec fermage et chasse, ce qui entraîne une évolution du règlement avec la fermeture des postes 11 à 18 pendant la période de la chasse.

Le plan d'eau qualitatif offre de larges ouvertures.
Crédit photo : Nicolas Migeon

Renseignements et réservations

Pour tout ce qui est des demandes de renseignements et de réservations, un seul numéro de téléphone vous permet de joindre l’un ou l’autre des gérants 7 jours sur 7 (voir plus bas). Ils se feront un plaisir de répondre à vos doléances. À noter qu’ils sont tous les trois membres du club de pêche de la carpe local qui s’appelle le Club Xtrem Carp Fishing Parc Soubise Crew. Vous pouvez visiter la page Facebook du domaine ici.

Christian avec l'une des lourdes résidentes !
Crédit photo : Nicolas Migeon

Un centre de pêche remarquable

Le plan d’eau se trouve dans un cadre naturel et préservé. La proximité du château rajoute aussi de l’authenticité, du charme et de la sérénité au lieu. Sa surface totale s’étend à 28 ha et 16 postes ont été aménagés pour vous accueillir dans les meilleures conditions possibles et cela, tout au long de l’année, puisque le domaine ne ferme pas ses portes en hiver et propose même un tarif réduit pour les pêcheurs intéressés. C’est seulement lors des vidanges que l’étang est fermé et elles ont lieu une fois tous les 3 ans suivant les conditions climatiques.

Un ponton flottant capable de permettre l'accès à l'eau en toutes circonstances.
Crédit photo : Nicolas Migeon

Confort

Sur place, vous trouverez en arrivant des sanitaires propres et accessibles. Deux autres toilettes sèches sont situées près des berges afin de réduire les distances entre les postes et les commodités. Un congélateur a été mis à disposition des pêcheurs pour plus de confort. La pièce d’eau a un fond plutôt plat ou en pente douce, légèrement vaseux et d’un relief assez monotone, il est intéressant de prévoir une paire de waders pour pouvoir combattre, épuiser et remettre à l’eau plus facilement les poissons. Cet équipement est même essentiel pour les postes 1 et 2, en limite de la réserve de la queue de l’étang. Leurs abords sont très peu profonds et une pente très douce permet de s’avancer assez loin pour lancer et se rapprocher de la berge d’en face. On augmente ainsi ses chances d’intercepter des poissons qui navigueraient de la réserve vers la partie principale de l’étang. Les postes sont suffisamment dégagés pour pouvoir pêcher confortablement en lançant du bord. Attention toutefois, lorsque l’étang est bien rempli, comme en novembre, on peut être juste en hauteur, par rapport aux branches les plus basses des grands arbres de certains postes, comme le 3 et le 4 principalement. L’utilisation des waders permettra de faire face à ce cas de figure.

La digue est un secteur intéressant quand les poissons recherchent la profondeur.
Crédit photo : Nicolas Migeon

La profondeur moyenne

Elle est de 2,5 mètres et on pourra trouver jusqu’à 4 mètres au plus profond, à proximité de la digue de l’étang. D’ailleurs les 3 postes immédiatement positionnés sur le haut du mur de cette dernière sont tous équipés d’un ponton flottant avec un escalier qui permet d’atteindre l’eau dans tous les cas, sans avoir à se préoccuper du niveau de l’étang ou d’être obligé de prévoir une échelle comme c’était le cas auparavant. Le cheptel de l’étang est juste magnifique! Environ 1 000 carpes nagent dans ces eaux vendéennes. Parmi elles se trouvent de jeunes poissons avec de très belles écaillures et qui sont nés sur place. La souche présente bénéficie d’un fort potentiel de croissance. Chaque poisson introduit est sélectionné pour ses qualités de croissance et de beauté. Le poids moyen des captures se situe aux alentours de 13 kg. Il existe une dizaine de très grosses carpes qui pèsent autour des 30 kg, le record est à 31,5 kg.

Les grands amours blancs font le bonheur des pêcheurs qui s'y intéressent. 
Crédit photo : Nicolas Migeon

D'autres spécimens

L’étang possède une belle population de gros amours blancs qui atteignent les 32,5 kg pour le plus gros. Il n’y en a que très peu en dessous des 20 kg. Les grands blancs nagent dans les eaux teintées de Soubise ! Avis aux amateurs ! On peut aussi y rencontrer quelques esturgeons calibrés autour des 20 kg. Il n’y a pas de brèmes mais quelques très belles tanches qui peuvent dépasser les 5 kg. La population d’écrevisse a subi une nette diminution et les bouillettes ne sont plus constamment dévorées. On peut aussi croiser quelques carpes koïs, histoire de rajouter un peu de couleur dans tout cela et finaliser quelques jours de pêche réussis.

La maisonnette de pêche.
Crédit photo : Nicolas Migeon

Ma cabane au Canada

C’est donc en novembre dernier que je me suis rendu sur les lieux pour une session de 72 heures. Parfaitement guidé par Christian et Tony que j’avais eu en ligne les jours précédents, j’arrête mon véhicule au poste 7, placé sur la digue et proche de la « cabane », une ancienne petite bâtisse qui permet de s’installer au sec et à l’abri sans avoir besoin d’un biwy ! Cette maisonnette, construite il y a bien longtemps sur la digue, possède deux grandes fenêtres qui donnent sur l’étang, une grande table, des chaises et des bancs. Un confort succinct mais largement suffisant par rapport aux besoins d’un carpiste. Elle est disponible à la location pour seulement 5 euros par jour. Je vous avoue que je n’ai pas rechigné à ce confort tellement la météo annoncée était exécrable ! J’aime tellement replier mon abri trempé qu’il ne m’a pas fallu longtemps pour accepter cette option gentiment proposée par Christian et Tony lors de ma réservation. Une fois le matériel déchargé et installé, ma voiture ramenée au parking, je commence immédiatement par monter mes cannes et le rod pod.

Un amorçage régulier au spod permet de concentrer des poissons.
Crédit photo : Nicolas Migeon

Têtes chercheuses

L’objectif est d’expédier au plus vite les montages emballés dans des sacs solubles pour commencer à pêcher au petit bonheur la chance certes, mais avec plus de probabilité de déclencher une touche que si le fourreau avait été déballé en dernier! Je ne compte plus les fois où mes trois lignes lancées en tête chercheuses m’ont permis de prendre rapidement un poisson et de pouvoir construire ma pêche avec les informations ainsi obtenues. Pendant que les cannes pêchent, j’installe l’intendance dans la maisonnette. Au moins 4 pêcheurs peuvent s’y installer avec une bonne organisation. Christian m’a même expliqué que certains irréductibles étaient venus passer le premier de l’an ici. On dirait qu’elle a été pensée pour un pêcheur de carpe ! L’ouverture de la porte donne un bon visuel sur le rod pod ainsi que la digue et les deux grandes fenêtres équipées de volets permettent de surveiller l’activité des poissons sur la zone de pêche et plus loin encore. De cette manière, on peut se permettre de rester à l’abri tout en gardant un œil sur l’eau. J’étais en train de préparer mon amorçage composé de bouillettes Ginger Pepper en 15 mm, de pellets au poisson de 14 mm, associés à du chènevis et un peu de graines toastées dont les poissons raffolent à Soubise, quand quelques bips me sortent de la tambouille. Je prends la canne en main, je sens une vague résistance puis plus rien.

Les jolies communes ne sont pas en reste à Soubise
Crédit photo : Nicolas Migeon

Il y a quelques esturgeons à Soubise

IJe les suspecte d’être responsables de cette première touche. Ils ramassent souvent les lignes avec leurs nageoires lorsqu’elles pointent vers le bas après avoir été déformées par les aléas de la vie d’un poisson dans un centre de pêche sportive. Mais cela reste un indice malgré tout et c’est décidé, je vais « spoder » à l’endroit où a eu lieu la touche. J’avais pris la précaution de marquer mon fil à la distance pêchée et pris un repère sur la berge d’en face. Alors, il me suffit de compter les tours entre mes distances sticks pour connaître la longueur de fil à sortir pour que montages et Spombs puissent atteindre précisément le bon endroit. D’après la mesure, je suis à 80 m devant moi et cela tombe bien car Tony m’avait conseillé de rester dans des distances courtes, entre 60 et 80 m. Les premiers « spods » ne tarderont pas à déverser leur contenu sur une petite zone pour tenter de concentrer et d’intéresser quelques carpes en maraude devant mon poste.

Une jolie miroir très épaisse
Crédit photo : Nicolas Migeon

Une bonne session dans un cadre exceptionnel

Le temps de mesurer, marquer, sonder pour connaître la profondeur et la nature du substrat, amorcer et placer correctement chaque montage, la nuit arrive de même que le premier vrai départ ! Cette fois-ci, il n’y a aucun doute, c’est sérieux et je sens que je tiens un poisson lourd qui décrit un large arc de cercle vers ma droite, en filant vers le mur de la digue. Je pense comprendre ce qu’elle cherche à atteindre pour se mettre en sécurité, c’est le ponton flottant de mon poste, celui qui permet d’arriver jusqu’à l’eau malgré la hauteur de la digue. Christian m’avait rassuré en me disant que rien ne faisait obstacle grâce à un astucieux système de rails verticaux, alors je reste serein, même si le poisson se trouve maintenant en train de faire demi-tour sous le ponton, pour repartir vers le large. Effectivement, la manœuvre s’opère parfaitement et sans le moindre accroc ! Ils sont quand même doués ces Vendéens car à part dans certains ports du domaine maritime, je n’ai jamais pu observer pareille installation dans toutes les pièces d’eau que j’ai pu découvrir ! Pendant le combat, je maintiens une pression légère car il n’y a aucun obstacle à part mes propres lignes mais j’ai relevé mon Carp’o et elles sont hors d’atteinte pour la carpe.

Une présentation très efficace à Soubise
Crédit photo : Nicolas Migeon

Mon approche

Dans les plans d’eaux privés comme celui-ci, je m’efforce de toujours travailler les carpes avec le plus de souplesse possible car leurs bouches sont sollicitées tout au long de l’année alors autant limiter au maximum les dégâts en y allant tranquillement et en ne leur laisser en souvenir, qu’un simple petit piercing, à peine visible une fois l’hameçon sans ardillon retiré. Quelques minutes s’écoulent et je vois monter une joli miroir très épaisse. Elle n’est pas très longue mais alors quelle largeur ! Elle me rappelle une conversation avec mon ami Patrick Salord… C’est un poisson qui flirte avec les 20 kg, je suis heureux de ce début prometteur. Je replace rapidement ce montage esché d’une bouillette dense Ginger Pepper de 15 mm avec un faux maïs flottant rose. J’ai opté pour une stratégie de pêche au rappel sur un unique coup volontairement serré. Et d’une, cela va me faire travailler ma précision et de deux, j’ai des chances d’accélérer le rythme des touches qui ne sont pas légion en ce moment sur l’étang. Si j’en crois les dires des deux pêcheurs qui exploitent en même temps que moi les postes 1 et 2, ils n’ont rien vu depuis leur arrivée, 24 heures avant moi. Mes amis qui m’ont accompagné, Thomas et David sont implantés aux postes 3 et 4. Puisque mon téléphone n’a pas émis la moindre sonnerie, j’en conclus qu’ils n’ont encore enregistré aucune touche. Le soleil continue à descendre et va bientôt disparaître quand un de mes swingers monte ! C’est la canne du milieu cette fois-ci et mis à part un maïs jaune à la place du rose, tout est pareil que pour le départ précédant. Après un combat très honorable c’est encore une miroir très typée proche des 20 kg qui vient me rassurer dans mon choix stratégique. Une fois le poisson relâché, je relance rapidement la ligne sur l’amorçage puisque c’est là que les touches se produisent et ensuite, j’effectue un rappel de 5 spods avant la nuit, pour inciter les carpes à revenir manger. Je continuerais même ce rappel régulier pendant la nuit car je ne voudrais pas perdre les poissons qui semblent avoir investi les lieux.

Un des beaux poissons records qui nagent à Soubise.
Crédit photo : Nicolas Migeon

Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas

Ce ne sera malheureusement pas efficace puisque jusqu’au lendemain 14h, je n’enregistrerais aucune autre touche. En fait, il semblerait que les poissons aient un rythme de passage mais je reste persuadé que le fort vent Sud-Ouest plutôt doux pour la saison n’y est pas pour rien. Les vagues battent la bordure opposée à la mienne et en plus elle n’est pas pêchée à cause de la chasse. Les poissons y sont donc tranquilles et y trouvent aussi certainement de la nourriture naturelle en suspension. Finalement, les touches auront lieu chaque jour aux environs de la même heure, c’est-à-dire l’après-midi et le soir. Ma petite session se soldera avec 12 poissons sortis pour 13 départs. Je n’en demandais pas tant surtout que le plus petit poisson avoisinait les 12 kg durant ces trois jours pluvieux mais heureux. En tant qu’amateur de compétition de pêche de la carpe, je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer l’intérêt certain de ce plan d’eau pour s’entraîner techniquement. On peut réaliser de très jolies pêches au zig ou au glaçon mais aussi à la bouillette pure, lancée au Cobra. Les poissons rentrent plutôt bien sur les amorçages et l’on ne peut pas dire que Soubise soit un plan d’eau difficile.

Pensez à réserver vos postes et bonne déroule !
Crédit photo : Nicolas Migeon

Un beau cheptel

Le cheptel est conséquent et permet de très jolies pêches de rendement tout en se gardant la possibilité d’essayer de sélectionner les plus gros poissons. La forme du lac, son fond régulier et la quantité de poissons présents rendent tous les postes intéressants et aucun ne peut être qualifié de « cimetière », surtout que les nouveaux gérants ont choisi de ramener le nombre des postes à 16 au lieu de 18 auparavant. Grâce à une bonne ouverture vers le large, les adeptes de la longue distance pourront aussi s’en donner à cœur joie sans pour autant qu’une pêche fine à 40 m de type méthod feeder ne puisse rivaliser. Avec de telles caractéristiques, il aurait été dommage qu’aucun évènement n’y soit organisé mais un enduro pour les habitués a lieu tous les ans sur 72h à la Pentecôte et un autre de 48h se déroule le 1er week-end de septembre avec une inscription ouverte à tous. À la suite de cette première pêche, je suis retourné sur ces lieus envoûtants cet hiver car le plan d’eau reste ouvert à cette saison et je dois dire qu’en plus d’un tarif réduit le jeu en valait vraiment la chandelle. Soubise reste pour moi l’un des plans d’eau les plus attractifs de l’Ouest de la France.

Règlement

  • Il est interdit d’accéder au-dessus des pancartes « RESERVE » des postes 1 et 18. La pêche y est autorisée en lançant du bord depuis le poste 1 et 18 mais l’accès à pied au-dessus des pancartes est interdit côté étang comme côté champ.
  • 4 cannes par pêcheur et il est impératif de rester près des cannes lorsqu’elles sont tendues.
  • Il est interdit de pêcher un poste depuis un autre. Vous devez pêcher uniquement le poste que vous avez réservé.
  • La pêche du gardon et du brochet ne sont pas autorisées
  • Le tapis de réception de taille minimale d’un mètre est obligatoire ainsi qu’une épuisette à carpe de grande taille. Tapis avec des rebords de préférence.
  • Seuls les sacs de conservation flottant rigide sont autorisés. « Sac filet » interdit, sauf en cas de canicule.
  • Seuls les biwys sont acceptés (pas de tonnelle ou tente sauf sur autorisation)
  • Les barques et bateaux gonflables ainsi que les bateaux amorceurs sont interdits. L’amorçage au bait rocket est autorisé (canon à bouillettes interdit)
  • Ne sont autorisés que les bouillettes de qualité, les graines bien cuites ainsi que les pellets.
  • La tresse est autorisée sur les moulinets mais interdite en arraché et en bas de ligne (seul le fluorocarbone est autorisé en bas de ligne et en arraché de gros diamètre)
  • La taille maximale des hameçons est de taille 2, sans ardillon ou écrasé.
  • Plomb bloqué interdit, seuls les plombs coulissants sur clip plomb sont autorisés pour libérer le poisson en cas de casse. Leadcore interdit.
  • Le NO KILL est obligatoire, la pêche doit être pratiquée dans le respect des poissons, ils doivent être remis immédiatement en liberté après la séance photo faite de préférence dans l’eau ou à genoux au-dessus du tapis de réception, et de courte durée. Les sacs de conservation ne sont autorisés que pour la carpe. Remise à l’eau immédiate des amours blancs.
  • Le marquage de poissons ou toute forme de mutilation est formellement interdit.
  • L’état d’ébriété et les substances illégales ne sont pas tolérés. La direction se réserve le droit d’exclusion immédiate du site, et sans remboursement, en cas de non-respect de ce dernier point.
  • Le site est sous la surveillance permanente d’un garde assermenté.
  • Étang du parc Soubise - 85640 Mouchamps - 07 71 55 98 32 - pechesportiveparcsoubise21@gmail.com

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