Très actif en été, notre ami à barbillons aime rôder près du fond à la recherche des invertébrés dérivant lentement dans la plus basse couche d’eau. Comme tous cyprinidés, il est moins sensible au réchauffement climatique que nos truites et devient un poisson d’avenir face aux augmentations récurrentes des températures…
Partie 1 : Truite, cherchez la fraîcheur
Partie 2 : Le chevesne, un cabot plutôt méfiant
Partie 3 : Le barbeau, un puissant combattant
Partie 4 : Carpe, la force tranquille
Le barbeau affectionne les fonds sableux comme les zones de rochers marquées, il se place généralement dans des zones de courants modérés à vifs. Selon les régions, sa période de fraie se situe entre les mois de mai et juillet. Mâles et femelles se regroupent alors en bancs plus ou moins denses et les mâles se parent de tubercules blancs sur la tête. À l’arrivée de l’été, notre ami doit alors se refaire une santé en augmentant sa fréquence d’alimentation. Une aubaine pour le moucheur qui peut alors en profiter pleinement.
En seconde catégorie
En aval de la zone à ombres, la zone à barbeaux se situe la plupart du temps en seconde catégorie piscicole. Elle offre des profils majoritairement…
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