Depuis quelques années, les pêches de la truite à la nymphe artificielle prennent une ampleur grandissante. Il s’agit peut-être même de l’une des plus grandes (r)évolutions en matière de pratiques que la pêche moderne ait connue au cours des dernières décennies, à l’instar des pêches en verticale, avec lesquelles les protocoles peuvent d’ailleurs présenter un bon nombre de similitudes. Voici donc le premier article – à caractère introductif – d’une série consacrée aux pêches de la truite en nymphe, ayant pour vocation de faire le tour des grands principes d’application, avant d’effectuer un zoom sur les mises en œuvre possibles (et conseillées !) durant la première partie de la saison de la pêche de la truite.
À l’échelle de l’histoire de la pêche à la ligne, l’utilisation de nymphes artificielles est bien plus récente que l’on ne pourrait instinctivement l’imaginer. Même si des traces apparaissent dans les décennies précédentes, chez Skues notamment, il est communément admis que la paternité des premières théorisations revient à Franck Sawyer, écrivain et garde-pêche sur l’Avon au Royaume-Uni, qui couche sur le papier ses…
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