Le toc-nymphe présente bien des similitudes avec la pêche en dérive naturelle avec toutefois quelques spécificités qu’il faut connaître. La façon de prospecter des parcours qui peuvent être variés doit s’adapter à leurs caractéristiques.
Au toc-nymphe, on peut gérer ses prospections de trois manières différentes en fonction de la nature du spot. La première consiste à utiliser un flotteur, un peu comme en longue coulée. Cette approche s’adapte très bien aux courants à la fois longs, laminaires et pas trop rapides, et d’une manière générale à toute veine d’eau insuffisamment rapide pour bien porter et faire dériver la ligne en dérive naturelle, avec un montage classique. Le flotteur permet en effet de porter la ligne et de réaliser de longues dérives très propres. Ensuite, il autorise l’allongement de ces dérives dans des courants moyens. Et surtout, il permet de pêcher de bien plus loin, ce qui est souvent déterminant dans les postes laminaires où les truites sont plus difficiles à approcher.
Quelle utilité ?
C’est surtout dans les rivières peu pentues que ce type de montage est le plus utile, sur les zones aval, les rivières de piémont ou les résurgences. Il peut également…
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